Algérie : méconnaissable, l'actrice Biyouna brise le silence après des accusations de séquestration

L’actrice algérienne Biyouna sort de son silence après les déclarations alarmantes de sa fille et de son amie Nawal Zaatar, et dément formellement toute accusation d’abus ou de séquestration.
L’affaire a pris une tournure inattendue. En quelques heures, les réseaux sociaux algériens ont été envahis de préoccupations concernant la santé et la situation personnelle de Biyouna, une figure emblématique du cinéma et du théâtre algérien.
Après les inquiétudes exprimées par son amie Nawal Zaatar et les révélations de sa fille Amel, qui évoquait une éventuelle séquestration, l’actrice a finalement brisé son silence.
Invitée sur une chaîne privée, Biyouna a fermement démenti ces accusations, assurant qu’elle allait bien et qu’elle n’était ni enfermée ni maltraitée. Toutefois, l’affaire soulève désormais davantage de questions que de réponses.
Disparition de Biyouna : une rumeur grandissante, amplifiée par les témoignages de sa fille et les préoccupations de Nawal Zaatar
Tout a débuté par une remarque subtile. Lors d’une émission, l’actrice Nawal Zaatar a exprimé son inquiétude en évoquant un « mystère » autour de la disparition de Biyouna, précisant qu’elle n’arrivait plus à la joindre.
Une déclaration qui aurait pu passer inaperçue si elle n’avait pas été suivie, quelques heures plus tard, par un témoignage plus alarmant, celui d’Amel, la fille de Biyouna.
Dans un appel téléphonique diffusé à la télévision, Amel a indiqué qu’elle n’avait plus de nouvelles de sa mère et a pointé une femme vivant avec elle à Alger comme étant responsable de cette coupure.
Elle l’a qualifiée de « dangereuse » et l’a accusée de violences physiques, de séquestration et même de lui administrer des substances. Amel, qui réside à l’étranger, a lancé un appel désespéré : « Ramenez-moi ma mère ».
Suite à ces révélations, l’inquiétude des fans a rapidement envahi les réseaux sociaux. Beaucoup ont remis en question une vidéo récente de Biyouna où elle affirmait que « tout allait bien », se demandant si elle n’avait pas été contrainte à la tourner.