Musique : Britney Spears a fait pleurer Paris Hilton à cause d'un détail dans sa biographie
Britney Spears est à nouveau au centre de l'attention médiatique après la publication de son autobiographie intitulée "La Femme en moi" ("The Woman in Me") le mardi 24 octobre.
Dans cet ouvrage, Britney Spears fait plusieurs révélations à ses fans et revient sur son passé tumultueux, selon la presse américaine. Elle aborde notamment ses soirées de l'époque avec Paris Hilton et Lindsay Lohan.
En effet, après son divorce avec Kevin Federline en 2006, l'interprète de "Toxic" s'était liée d'amitié avec la star de "Simple Life" et l'actrice.
Des photos de leurs sorties avaient été publiées dans la presse people, et les tabloïds avaient amplifié les moindres détails sur la prétendue "débauche" des trois stars.
Cependant, dans ses mémoires, Britney dément ces allégations. Selon une copie préliminaire du livre obtenue par le New York Times, elle affirme que les choses n'étaient pas aussi sauvages que la presse l'a prétendu. Elle déclare également ne pas être intéressée par la drogue et n'avoir "jamais eu de problème d'alcool".
Britney explique que sa "drogue de prédilection" à l'époque était l'Adderall, un médicament utilisé pour traiter le trouble déficitaire de l'attention (TDAH).
Elle se souvient que cela lui procurait un sentiment d'euphorie, mais ce qui était encore plus attrayant pour elle était que cela lui permettait de se sentir moins déprimée pendant quelques heures. À cette époque, la chanteuse était écrasée par la célébrité.
Dans les paragraphes suivants, Britney Spears reconnaît que son comportement était alarmant. Les images de la chanteuse au bout du rouleau, se rasant la tête et attaquant la voiture d'un paparazzi, ont marqué toute une génération de fans.
À l'âge de 42 ans maintenant, Britney admet qu'à l'époque, elle était "folle de chagrin". Dans son nouveau livre, elle révèle : "Je suis prête à admettre que dans les profondeurs d'une grave dépression post-partum, après avoir été abandonnée par mon mari, en étant séparée de mes deux enfants bien-aimés, ayant perdu ma tante adorée Sandra et constamment harcelée par les paparazzis, j'ai commencé à penser et à agir d'une manière enfantine".
"Mon crâne rasé faisait peur à tout le monde, même à ma mère", écrit-elle. "Pendant ces semaines sans mes enfants, j'ai perdu la raison, encore et encore. Je ne savais même pas comment prendre soin de moi-même".