Un "chaleureux baiser" éteint la flamme de la colère en Tunisie
Certains observateurs ont estimé que le baiser public était un mouvement anti-honteux, que les caméras n'auraient pas dû ramasser pour ne pas diluer le problème de la protestation et son sujet.
Les opinions des adeptes des médias sociaux en Tunisie ont divergé sur le «baiser» pris par la caméra, au milieu de la colère populaire qui a encadré le parlement hier pour protester contre la détérioration de la situation économique et sociale au cours de 10 années de règne des frères musulmans et leur alliés.
Le couple Ghufran et Yassin, au milieu de l'enthousiasme pour exprimer une position collective protestant contre la violence de l'autoritarisme et du militantisme imposés par la logique du groupe des Frères musulmans ont pensé et pratiqué à formuler leur protestation dans un baiser public, au milieu de la foule des manifestations, ce que certains ont vu comme un défi de système militant qui opprime la liberté d'expression de la tolérance, de l'amour et de l'émotion humaine dans sa forme la plus simple.