Les débuts prometteurs de Gabriel Attal en tant que premier ministre : Un sondage révélateur
Selon le dernier baromètre mensuel Ipsos pour La Tribune, les débuts de Gabriel Attal en tant que Premier ministre ont été accueillis favorablement par 37% des Français, surpassant ainsi les débuts de ses prédécesseurs.
Ces résultats, provenant d’un sondage réalisé du 17 au 19 janvier, soit six jours après la nomination d’Attal à Matignon, mettent en lumière une réception positive de sa prise de fonction.
Dans ce même sondage, l’action d’Emmanuel Macron recueille une approbation de 30%, révélant des chiffres contrastés pour le Président français.
Gabriel Attal se distingue en obtenant 37% d’approbation, avec une répartition équitable entre ceux qui approuvent et ceux qui désapprouvent son action.
En comparaison, Edouard Philippe, Jean Castex et Elisabeth Borne, lors de leurs premiers pas, ont enregistré des chiffres légèrement inférieurs dans les baromètres précédents d’Ipsos.
Du côté de l’équipe gouvernementale d’Attal, le ministre de l’Économie Bruno Le Maire est en tête avec 44% d’approbation, suivi par Gérald Darmanin à l’Intérieur (32%) et Rachida Dati à la Culture (23%).
Cependant, Amélie Oudéa-Castéra, ministre de l’Éducation, se trouve en bas du classement avec seulement 6%, alimentant ainsi la controverse liée à la scolarisation de ses enfants.
En ce qui concerne l’opposition, le Rassemblement national, dirigé par Marine Le Pen, confirme sa dynamique. Elle est considérée comme la meilleure opposante de droite par 28% des personnes interrogées, suivie de Jordan Bardella à 16%.
Notamment, Marine Le Pen est également la personnalité dont l’accession à l’Élysée satisferait le plus de Français, avec 36%, devançant Edouard Philippe (33%) et Gabriel Attal (31%).
En revanche, le président (LR) de la région Auvergne-Rhône-Alpes, Laurent Wauquiez, ne recueille que 9% d’approbation en tant que meilleur opposant de droite, et seulement 15% envisagent favorablement son élection en 2027.
L’enquête a été menée en ligne auprès d’un échantillon représentatif de 1 000 personnes âgées de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas, offrant ainsi un aperçu significatif de la perception actuelle de la politique française.