Donald Trump critique le prince Harry : “Il mérite d’être seul”
L'ex-président Donald Trump a déclaré ce samedi, que la famille royale britannique avait été "trop aimable" avec le prince Harry et qu'il ne le protégerait pas comme l'a fait le président des États-Unis, Joe Biden.
Le 45e président américain Donald Trump lance une pique au prince Harry. Le républicain a déclaré au Daily Express US, ce samedi 24 février, que la famille royale britannique s’était montrée "trop aimable" avec le duc de Sussex et que celui-ci mériterait mieux "d'être seul."
L'ancien président s'est adressé exclusivement à l'Express lors de la conférence CPAC à Washington, rapporte Gala.
Ses commentaires sont prononcés 24 heures après que le prince Harry a comparu devant le tribunal pour savoir s'il avait menti sur ses papiers d'immigration aux États-Unis au sujet de sa consommation de drogue.
Ce qu'il avait avoué dans son livre mémoire Le Suppléant, Spare dans le titre original, paru en janvier 2023. Mais le frère de William est parvenu à rester aux États-Unis avec le soutien du ministère de la sécurité intérieure de Joe Biden.
Une information qui n'a pas semblé plaire à Donald Trump. Le New-Yorkais était furieux contre l'administration de Joe Biden.
Il a ainsi déclaré : "Je ne le protégerais pas. Il a trahi la reine. C'est impardonnable. Il serait seul si cela ne dépendait que de moi." Il a ajouté : "Je pense qu'ils ont été trop aimables envers lui après ce qu'il a fait."
Donald Trump très probable candidat républicain pour novembre
Et ce n’est pas la première fois que l’ancien président américain évoque le cas des Sussex.
Bien avant ses commentaires depuis la CPAC, en septembre 2023, invité de l’émission The Hugh Hewitt Show, Donald Trump avait affirmé qu’il serait plus que partant pour débattre avec Meghan Markle.
"J’adorerais, je suis tellement en désaccord avec elle." Il critiquait notamment l’épouse du prince Harry : "Je n’ai pas aimé la façon dont elle a traité la reine."
La CPAC, Conservative Political Action Conference, est une réunion organisée par les conservateurs américains pendant quatre jours à Washington D.C.
Cette année, elle est devenue un rassemblement prolongé de Donald Trump, sa nomination comme candidat républicain étant pratiquement confirmée en vue de l’élection présidentielle de novembre prochain. Des orateurs et des alliés proches comme Nigel Farage ont insisté sur la nécessité d'une présidence Trump "comme le dernier espoir de l'Occident avant qu'il ne soit trop tard."
Le dernier jour, tout le monde se bousculait pour entendre Donald Trump prononcer son discours sur l'état de l'Amérique. Pour le moment, il est ultra-favori dans la course à l'investiture républicaine.