"Ces escrocs continueront" : Booba incite Bruno Le Maire à passer la seconde dans le combat contre les influvoleurs
Impliqué depuis de longs mois dans la lutte contre les arnaques de certains influenceurs, Booba a décidé d'interpeller Bruno Le Maire, afin de demander des sanctions majeures.
Le 1er juin, la première loi visant à encadré le secteur des influenceurs a été définitivement adoptée par le Parlement.
Les effets de cette nouvelle réglementations n'ont pas tardé à se faire voir, puisque certaines personnalités des réseaux sociaux ont été épinglées par la DGCCRF (la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes).
L'organisme de contrôle a sanctionné Illan Castronovo, Simon Castaldi, Capucine Anav, Léa Monchicourt ou encore Anthony Mateo.
Le fils de Benjamin Castaldi a réagi sur les réseaux sociaux afin d'évoquer son cas personnel.
"Je rappelle que j'ai été condamné uniquement car j'ai oublié de mettre le hashtag 'sponsorisé' sur certains de mes placements de produits par le passé parce que je ne faisais pas attention. Donc qu'on soit bien claires, je n'ai ni fait d'arnaque, ni fait de trading bizarres (...) Moi j'ai deux deux-trois placements de produit pour des marques de parfum où je n'ai pas mis le hashtag 'sponsorisé'", a-t-il confié.
Ces différentes actions et annonces de la DGCCRF n'ont évidemment pas échappé à Booba.
Impliqué depuis des mois dans la lutte contre ceux qu'il appelle "les influvoleurs", le rappeur a décidé d'interpeller Bruno Le Maire.
Le Duc de Boulogne a incité le ministre de l’Économie et des Finances à passer à la vitesse supérieure dans le combat contre les arnaques sur les réseaux sociaux.
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"Tant que les influvoleurs reconnus coupables ne sont pas réellement punis ( prison, amendes, remboursement des victimes ) et que les réseaux ( complices ) ne ferment pas leurs comptes, la loi influvoleurs ne sert à rien! Ces escrocs continueront et d'autres suivront", a-t-il posté sur Twitter.