Les femmes violées par Tariq Ramadan sont tombées sous son emprise, décrit un psychiatre
Elles n'ont pas consenti aux actes sexuels d'une extrême violence faits contre elles
Les femmes qui accusent le petit-fils du fondateur du groupe terroriste, des Frères musulmans, Tariq Ramadan, du viol et agressions sexuelles, sont tombées sous les précipices de son emprise, a révélé un expert psychiatre saisi par la justice française.
Selon les conclusions du docteur Daniel Zagury, ces plaignantes sont tombées sous l'emprise de ce théologien suisse, et ont accepté des relations intimes avec lui. Mais elles n'ont pas consenti aux actes sexuels d'une extrême violence faits contre elles.
Mis en examen pour viol contre quatre femmes, Tariq Ramadan qui a déjà nié toute relation sexuelle avec ces femmes, a changé de version suite aux nombreuses correspondances sexuelles que les enquêteurs ont trouvé entre lui et les plaignantes, a rapporté France Info.
Par conséquent, les juges français ont confié à un expert psychiatre d'analyser le type de ces relations entre Tariq Ramadan et ses plaignantes.
Ce docteur a estimé que l'emprise de Ramadan est touchée dans les relations sexuelles avec les deux principales accusatrices, henda Ayari et une autre femme surnommée Christelle.