Charles III : découvrez le gâteau “explosif” du couronnement !
Après les célébrations du couronnement de Charles III organisées il y a quelques jours, à Londres, certains convives ont emporté une part de gâteau dans leurs bagages.
Le Sunday Express a révélé ce dimanche 14 mai, que cet encas a valu une belle frayeur à l'un des invités.
La ville de Londres et les partisans de la royauté britannique ont vécu au rythme du couronnement du roi Charles III le samedi 6 mai.
Huit mois après le décès de sa mère la reine Elizabeth II, l'héritier du trône et son épouse Camilla ont été sacrés roi et reine d'Angleterre, devant quelque 2 300 invités en l'abbaye de Westminster.
Il s'ensuivit de nombreuses célébrations au palais de Buckingham, et de copieux repas.
Pour ne pas gaspiller, les époux royaux ont offert à certains convives, le droit d'emporter une part de gâteau prévu pour l'occasion.
Une charmante attention qui a causé une grosse frayeur au compositeur doublement nommé aux Grammy Awards, Tarik O'Regan, présent pour ce moment historique.
Le média britannique Sunday Express a en effet révélé ce dimanche 14 mai que le musicien s'était fait arrêter par la sécurité de l'aéroport, à cause de sa densité et de sa forme.
En effet, le scanner à rayons X a détecté un objet qui avait "exactement la même densité qu'un explosif plastique."
Et comme une paire d'écouteurs se trouvait sous la part de gâteau, les agents ont conclu à un détonateur. Le virtuose de la musique a d'ailleurs déclaré : "Ils m'ont montré sur l'écran à quel point c'était inquiétant ! J'ai été très impressionné par leur travail d'enquête. Et ils ont vu l'humour de la situation."
Plus de peur que de mal, puisque ce qui ressemblait à une bombe artisanale, était en fait une part du gâteau royal… surmonté de fruits.
Soixante-dix ans après sa défunte mère, Charles III et son épouse Camilla ont organisé pas moins de quatre jours de célébrations pour leur couronnement.
Si cet événement est exceptionnel pour le peuple britannique, il l'est d'autant plus pour les différents royaumes, puisque l'Angleterre est la dernière monarchie européenne à avoir encore un couronnement.
Le prince William lui-même aurait émis des réserves quant à son propre couronnement. Robert Morris, professeur honoraire à La Constitution Unit de l'University College London s'était d'ailleurs confié au quotidien Daily Mail à ce sujet.
"Il semble très probable que William préfère le style de couronnement de son père, si tant est qu'il veuille un couronnement."
Et d'ajouter : "William ou le Gouvernement en place peut décider, pour quelque raison que ce soit, que le jour des couronnements est révolu". Y a-t-il à voir ici, les prémices d'une monarchie plus simple ?