kanye West et sa femme Bianca Censori font du PDA au cours d’une soirée en amoureux
Les deux amoureux continuent de se faire plaisir avec ou sans les caméras.
TMZ a repéré à l’extérieur du Lobster à Santa Monica Ye et Bianca Censori. Les deux tourtereaux étaient en compagnie de l’architecte japonais Tadao Ando.
Les trois étaient ensemble, mais personne ne sait s’il s’agit d’un dîner d’affaires ou d’une sortie amoureuse avec Tadao comme invité.
La présence du célèbre architecte n’a aucunement empêché Ye de s’acoquiner avec sa bien-aimée.
Sur les images diffusées par TMZ, il est possible de voir Ye et Bianca s’amouracher à l’extérieur du restaurant. Le rappeur a enfoui sa tête dans la poitrine de sa femme. Dans une autre photo, Ye a tripoté les fesses de Bianca qui semble apprécier cela.
Ces photos feront sans doute parler les médias comme l’événement du week-end dernier.
En effet, Ye a organisé son 46e anniversaire dans un entrepôt du côté de Los Angeles.
La grosse attraction au cours de la soirée a été la pratique du « Nyotaimori ».
Il s’agit d’une tradition d’origine japonaise qui consiste à présenter le repas sur le corps d’une jeune femme entièrement nue. Les médias ont critiqué le fait que des plateaux de sushis sont posés sur le corps d’une femme totalement nue.
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Le choc est plus fort pour certains en raison du fait que North, la fille de 9 ans de Ye a participé à la soirée.
Une rencontre menacée avec la belle famille
Ye et Bianca Censori se sont mariés au cours d’une cérémonie privée cette année. Même si l’acte n’est pas encore légalement validé, le couple prévoit de se rendre en Australie pour une rencontre avec la famille de Censori. TMZ informe que ce voyage pourrait ne pas tenir.
Le ministre australien de l’Éducation Jason Clare pourrait envisager de refuser à Ye l’entrée sur le sol australien. Cela s’explique par les divers événements liés au magnat de Yeezy. « Je m’attends à ce que, s’il pose sa candidature, il doit suivre la même procédure et répondre aux mêmes questions », a déclaré M.
Clare à Nine Network TV à l’époque, faisant une légère allusion à la longue histoire de l’Australie en matière de refus de personnes ayant des convictions antisémites.
