Le prince Harry chassé des États-Unis
Dans ses mémoires Le Suppléant, le prince Harry s’est longuement confié sur sa consommation de diverses drogues par le passé.
Choqués par de tels aveux, certains Américains souhaiteraient que le visa du duc de Sussex soit réexaminé par les autorités, comme l’a révélé un récent sondage de Newsweek.
S’il n’est plus le bienvenu au Royaume-Uni, il semblerait qu’il en soit de même sur le sol Américain.
En s'épanchant sur sa consommation de drogues dans ses mémoires Le Suppléant ainsi qu’auprès du docteur Gabor Maté, le duc de Sussex s’est attiré les foudres de certains citoyens. Ces derniers ont été atterrés par les propos tenus par l’époux de Meghan Markle sur sa prise de divers stupéfiants.
Ne cautionnant pas une telle pratique, une poignée d’Américains seraient favorables à une réévaluation de son visa, comme l’a révélé un récent sondage de Newsweek.
"54% des adultes américains, sur un échantillon de 1 500 électeurs inscrits, pensent que le visa du prince devrait être réexaminé après qu'il ait admis avoir consommé de la cocaïne et des psychédéliques à des fins récréatives dans ses mémoires, Spare."
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Et les résultats de cette enquête risquent d’appuyer la demande du groupe de réflexion conservateur The Heritage Foundation concernant le visa du père de Lilibet et Archie.
En effet, ce think tank voudrait que la demande de visa du frère cadet du prince William soit rendue publique par Washington.
La raison ? Il souhaiterait savoir si le duc de Sussex a informé les autorités de l'immigration de son passé avec la drogue. Un nouveau feuilleton dont Harry se serait certainement passé à quelques jours de ses retrouvailles avec les membres de la famille royale pour le couronnement de Charles III…
Face à une telle agitation, une question est aujourd’hui sur toutes les lèvres : le prince Harry pourra-t-il rester sur le sol Américain ?
À en croire Kinsey Schofield, une experte royale, le fils cadet de Charles III aurait peu de souci à se faire. Dans le podcast To di for Daily, l'animatrice a rappelé qu’Harry pourrait compter sur les amis influents de Meghan Markle au sein du parti démocrate pour s'en sortir.
"Ils sont amis avec Jill et Joe Biden, ils peuvent décrocher le téléphone et appeler le président s'ils le souhaitent. Ils sont amis avec Hillary Clinton, Stacy Abrams et Kamala Harris", a-t-elle expliqué. Des connaissances qui lui permettraient donc d’obtenir "une carte de sortie de prison gratuite" et de "résoudre tout problème de visa américain".
Interrogé par nos confrères du Mirror, James J. Leonard (avocat de nombreuses célébrités américaines) a également assuré que le prince Harry n'aurait rien à craindre.
"Je n'envisage aucun scénario viable dans lequel les révélations de ses mémoires sur la consommation de drogues expérimentales et récréatives pourraient avoir des conséquences sur le statut d'immigrant du prince Harry.", a-t-il déclaré.