Le prince Harry parle de ses addictions
Une interview a été révélée, dans laquelle le prince Harry s’entretient avec un expert en traumatologie et en développement de l'enfance.
Ce dernier s’est livré au sujet de sa consommation de drogue, mais aussi de sa santé mentale, notamment depuis le décès de sa mère.
Une autre interview pour le prince Harry, expulsé par son père, le roi Charles. Cette fois-ci, le mari de Meghan Markle, invité au couronnement de Charles III avec sa femme, n’a pas uniquement parlé de la famille royale, mais plutôt de sa santé mentale, et de son passif avec la drogue.
Il s’est entretenu avec le Dr Gabor Maté, un expert en traumatologie et en développement de l'enfance.
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Ce dernier a été très cash avec le prince, qui a interpellé Courteney Cox avant qu'elle ne réagisse à ses révélations, et a fait référence à ses mémoires explosives, Spare, dans lesquelles Harry a réglé ses comptes avec la famille royale : "En lisant le livre, je vous diagnostique un TDA, je le vois comme une réponse normale à un stress normal, pas une maladie".
Il a également expliqué qu’il voit en Harry "beaucoup de traumatismes", et cela même s’il s’agit d’"un rejeton de l’une des familles les plus riches du monde, doré par le pouvoir et les privilèges".
Au sujet des traumatismes qu’il a vécus, le prince a déclaré : "Depuis l’âge de 12 ans, en plus d’être en état de choc, j’étais en état de combat ou de fuite".
Des confessions poignantes, suivies de révélations des plus transparentes sur sa relation avec la drogue, à des moments difficiles de sa vie. Harry a notamment parlé de la cocaïne et de la Marijuana, en expliquant que la première ne lui avait pas fait de bien, mais la deuxième, si :
La cocaïne "n’a rien fait pour moi, c’était plus un truc social. Cela m’a donné un sentiment d’appartenance et m’a probablement aussi fait me sentir différent de ce que je ressentais […] La marijuana est différente, elle m’a vraiment aidé", a-t-il avoué.
Le frère de William a par la suite abordé la drogue psychédélique, expliquant qu’elle l’a aidé à traverser certains traumatismes :
"Cela m’a tout enlevé et m’a apporté un sentiment de relaxation, de libération, de confort, une légèreté que j’ai réussi à conserver pendant un certain temps", a-t-il déclaré, avant de poursuivre :
`"J’ai commencé à le faire de manière récréative, puis j’ai réalisé à quel point c’était bon pour moi. Je dirais que c’est l’une des parties fondamentales de ma vie qui m’a changé et m’a aidé à gérer les traumatismes et les douleurs du passé", a-t-il livré.
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