Qatar/terrorisme : Les Italiens dénoncent des accords suspects avec Doha
Un certain nombre de chefs de partis Italiens ont décrit l'accord signé comme "une propagande pour l'extrémisme.
Un état de division et de panique suite à l'accord signé par l'Italie, avec le Qatar dans le domaine de la coopération en matière d'éducation et de la recherche scientifique après que le parlement a récemment adopté l'accord, ce qui a mis les Italiens et un grand groupe de partis en colère.
Un certain nombre de chefs de partis Italiens ont décrit l'accord signé par l'ancien Premier ministre du gouvernement intérimaire, Mario Monti, et l'ancien émir du Qatar, Hamad bin Khalifa Al Thani, comme "une propagande pour l'extrémisme, et qui fera de Rome un centre de propagation du terrorisme en Europe".
Les médias italiens ont fait la lumière sur l'accord, le décrivant comme "un scandale historique pour la politique italienne".
Les journaux italiens ont évoqué la libération de la militante humanitaire Silvia Romano de l'emprise du mouvement terroriste somalien "Harakat al-Chabab" qui l'a kidnappée au Kenya, comme preuve de la relation étroite entre Doha et le terrorisme.
Les journaux ont attiré l'attention sur la déclaration du chef de la Branche italienne du renseignement étranger, Luciano Carta, à l'époque, qui a confirmé que la libération de Slivia avait été obtenue grâce à la médiation qatarie, en échange de 4 millions de dollars, et le médiateur qatari n'a trouvé aucune difficulté dans ces négociations.
Le journal italien "Libero" a publié les détails de l'accord, en échange duquel une cargaison d'uranium a été envoyée à l'Iran via le Qatar et la Turquie.