Ronaldo-Georgina: qui veut casser le couple?
Alors que les rumeurs autour de leur séparation ne désenflent pas, la mère de Cristiano Ronaldo est montée au créneau sur les réseaux sociaux.
Guère à la fête sur les terrains depuis plusieurs mois, que ce soit avec Manchester United ou même Al-Nassr, qu’il a rejoint cet hiver, Cristiano Ronaldo vit également des moments difficiles dans sa vie personnelle.
A en croire la presse portugaise, son couple avec Georgina Rodriguez battrait en effet de l’aile et certains affirment même que l’ancien Mancunien et le mannequin argentin seraient au bord de la rupture.
Pour certains médias portugais, la mère de Cristiano Ronaldo ne serait pas pour rien dans les problèmes de couple du quintuple Ballon d’Or.
Maria Dolores dos Santos Aveiro entretiendrait une relation conflictuelle avec sa belle-fille et ferait tout pour que le couple se sépare. Au point même de faire usage de sorcellerie. Des accusations qui ont incité la mère de CR7 à monter au front sur Instagram pour dénoncer ces fake-news.
Des actes horribles
« Je veux communiquer en mon nom et au nom de ma famille qui comprend Georgina, épouse de mon fils Cristiano. J’affirme qu’aujourd’hui, 16 mai 2023, j’ai appelé mes avocats pour réhabiliter mon nom et celui de ma famille pour ce qu’ils représentent dans ma vie.
Une histoire est sortie dans un journal portugais bien connu (qui par conséquent utilise et abuse de mon nom de famille pour se faire de la publicité ). Cette histoire fausse, calomnieuse et même macabre livre des nouvelles où l’on parle d’actes horribles que j’aurais ordonnés pour enlever le bonheur d’un de mes enfants… », a-t-elle ainsi écrit, rapporte Sport.
« Mon nom ne sera jamais jeté sur la place publique, je ne permettrai jamais à une source d’information aussi peu professionnelle d’utiliser mon nom en vain. Je vais prouver que les sources et les mots utilisés jusqu’à présent sont totalement faux.
Il y a des offenses gratuites après ce type de nouvelles qui font mal, blessent et nous laissent les mains liées, a-t-elle poursuivi. Mes petits-enfants, certains d’entre eux, lisent et écoutent déjà les gens et les critiques. Pour cette raison même, je n’abandonnerai pas jusqu’à ce que ce journal paie tout ce qui est écrit aujourd’hui. »