Sanctionné pour fraudes, Simon Castaldi prend la parole pour se défendre et s'attaque à Booba
Récemment sanctionné par la DGCCRF pour "pratiques commerciales trompeuses", Simon Castaldi s'est exprimé sur l'affaire sur les réseaux sociaux, dans une vidéo où il n'hésite pas à s'en prendre à Booba.
Il suffit d'aller sur sa page Instagram pour constater.
Le 31 mai, Simon Castaldi a posté un message de la DGCCRF (la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes), avec l'obligation de le laisser en avant pendant 30 jours.
L'organisme de contrôle a en effet considéré que le fils de Benjamin Castaldi était coupable de pratiques commerciales trompeuses.
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Selon la DGCCRF, le candidat de télé-réalité et influenceur n'a pas indiqué "ni l’intention commerciale de ses publications, pourtant en relation directe avec la promotion de biens ou services, ni les marques pour lesquelles il réalise ces communications".
"Ces pratiques, qui s’apparentent à de la publicité cachée, sont des pratiques commerciales trompeuses au sens du code de la consommation", ajoute l'organisme.
Suite à cette sanction, Simon Castaldi a pris la parole sur Instgram, avec une vidéo postée en story. L'influenceur a tout d'abord voulu relativiser les choses et s'est défendu d'être un "influvoleur".
"Je rappelle que j'ai été condamné uniquement car j'ai oublié de mettre le hashtag 'sponsorisé' sur certains de mes placements de produits par le passé parce que je ne faisais pas attention. Donc qu'on soit bien claires, je n'ai ni fait d'arnaque, ni fait de trading bizarres (...) Moi j'ai deux deux-trois placements de produit pour des marques de parfum où je n'ai pas mis le hashtag 'sponsorisé", a-t-il débuté.
Le fils de Benjamin Castaldi ne s'est pas arrêté là. Il a souhaité évoquer Booba, très impliqué depuis de longs mois sur les réseaux sociaux contre les escroqueries des influenceurs.
Selon Simon Castaldi, la sanction de la DGCCRF n'a rien à voir avec le rappeur, dont il dénonce les méthodes.
"Personne ne m'a éteint. Les gars, ce qu'il a fait Booba, ça ne m'a pas touché (...) ce qui est grave c'est tout le harcèlement qu'il y a eu. C'est grave, c'est très grave", a-t-il lancé.