"Simone Gbagbo : Prête à Conquérir la Côte d'Ivoire en 2025 !"
Simone Gbagbo et son mari, Laurent Gbagbo, ont occupé des rôles majeurs dans la politique ivoirienne, surtout durant la période agitée qui a suivi l'élection présidentielle de 2010. Voici un aperçu de leurs engagements politiques.
Simone Gbagbo
Contexte Politique : Simone Gbagbo, ancienne Première Dame de Côte d'Ivoire, a exercé sa fonction de 2000 à 2011. Elle est la présidente du groupe parlementaire du Front populaire ivoirien (FPI) et a également été vice-présidente du parti.
Problèmes Juridiques : En 2011, elle a été arrêtée par les forces pro-Ouattara et placée sous résidence surveillée. En 2012, la Cour pénale internationale (CPI) a émis un mandat d'arrêt à son encontre pour crimes contre l'humanité, l'accusant d'avoir joué un rôle clé dans les violences post-électorales.
Procès et Condamnation : En 2015, un tribunal ivoirien l'a condamnée à 20 ans de prison pour crimes contre l'humanité liés aux violences post-électorales. Cependant, en 2017, elle a été acquittée des accusations de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité par un tribunal national. En 2018, elle a bénéficié d'une grâce dans le cadre d'une amnistie accordée par le président Alassane Ouattara.
Laurent Gbagbo
Contexte Politique : Laurent Gbagbo a été président de la Côte d'Ivoire de 2000 jusqu'à son arrestation en avril 2011. Il a fondé le Front populaire ivoirien (FPI) en 1982 et s'est engagé dans diverses activités politiques et syndicales au cours de sa carrière.
Questions Juridiques : Après avoir perdu l'élection présidentielle de 2010 face à Alassane Ouattara, Laurent Gbagbo a été arrêté en 2011 pour avoir refusé de céder le pouvoir. Il a également été accusé de crimes contre l'humanité.
Situation Actuelle
Simone Gbagbo est actuellement en préparation pour l'élection présidentielle de 2025 en Côte d'Ivoire. Elle cherche à rassembler les forces d'opposition pour constituer une alliance contre le RHDP (Rassemblement des Houphouëtistes pour la Démocratie et la Paix), le parti au pouvoir