Football: Des crises touchent l'Espérance de Tunis et le club africain du championnat tunisien
Les crises ont touché la capitale tunisienne, l'Espérance et le club africain, après un tour de départ du championnat local.
Les deux géants tunisiens du football entrent dans la nouvelle saison avec de grandes ambitions après les fortes signatures qu'ils ont faites lors de la récente période de transfert.
L'Espérance Sportive du Tunis « Al-Taraji » comptait 7 joueurs dans ses rangs, et il s'agissait de ses anciennes stars Ghilan Al-Shaalali, Raed Al-Fada et Muhammad Ali bin Ramadan, ainsi que Naseem Bin Khalifa, Ala Al-Din Al-Marzouki, Farouq Bin Mustafa et Hamdi Al-Naqaz.
Le club africain a signé avec 8 joueurs, les Algériens Shams El Din Nguyer, Ibrahim Farahi, Hussein Bin Ayada, Zain El Din Putman et Zakaria Al Nuaiji, en plus du Brésilien Gil Bahia, du Tunisien Ghaith Yeferni et de Yassin Al Omari.
Les ambitions du club de la capitale tunisienne se sont toutefois heurtées à une série d'obstacles rencontrés au début de la saison en cours, que Al-Ain News suit à travers le reportage suivant.
Le Coronavirus touche L'Espérance
Le Coronavirus a touché le «cheikh des clubs tunisiens», car il a été confirmé que l'attaquant Maher Bin Sagheer était absent de la prochaine confrontation avec l'Union des monastères, prévue dimanche prochain, après que les résultats du prélèvement médical qu'il a subi aient été testé positifs.
Bin Khalifa et l'Espérance reviennent à zéro
Le Suisse d'origine tunisien, Nassim Ben Khalifa, le nouveau arrivé à l'Espérance, a subi une blessure aux ischio-jambiers qui l'obligeait de s'absenter pendant 3 semaines de repos.
L'Espérance souffre de problèmes offensifs majeurs, et il a signé le contrat de gestion de l'équipe, en novembre, avec Nassim Khalifa pour une période de deux saisons.
Un décret de la FIFA prive le club africain de ses nouvelles stars
Le Club africain n'a pas pu demander l'aide de ses huit nouveaux joueurs, après avoir omis de lever l'interdiction de contracter avec des joueurs, qui lui est imposée par la commission des conflits de la Fédération internationale de football association "FIFA".