Attentat à la basilique de Nice: l’assaillant tunisien, l'un des exportations des Frères Musulmans
Un Tunisien de moins de 21 ans, soupçonné d'être impliqué dans un attentat jeudi, dans une église de la ville française de Nice, qui a fait trois morts, dont une femme décapitée.
Une idéologie radicale chargée de haine répandue par les frères musulmans tunisiens dans les rangs de la jeunesse du pays, afin de créer une génération radicale leur but est de semer la terreur et la destruction.
Un Tunisien de moins de 21 ans, soupçonné d'être impliqué dans un attentat jeudi, dans une église de la ville française de Nice, qui a fait trois morts, dont une femme décapitée.
Une opération au couteau qualifiée par les médias français de "scandaleuse" a également suscité le mécontentement en Tunisie, notamment après la déclaration de la nationalité du suspect, selon des informations préliminaires.
Des militants tunisiens ont condamné l'attaque, soupçonnée d'avoir été menée par un Tunisien qui a récemment immigré de manière illégale vers l'île italienne de Lampedusa, où les forces de sécurité l'ont intercepté avant de lui demander de quitter le pays, alors il s'est rendu en France.
L'écrivain tunisien Olfa Youssef a écrit sur Facebook: "Rached Ghannouchi (le chef des frères musulmans en Tunisie) a le droit maintenant d'être fier de ceux qui lui rappellent sa jeunesse, et le membre des frères musulmans Abdel Fattah Morou a le droit d'être heureux en ayant nos enfants ...".
De sa part, Rafi al-Tabib, professeur à l’université tunisienne, a critiqué, via Facebook, la politique du gouvernement des Frères musulmans, affirmant que «la Tunisie, qui est en proie au terrorisme, n’est pas un État dévoyé … ce n’est plus un État en premier lieu!
La Turquie planifie et le Qatar finance
À son tour, le chercheur tunisien Anas Chebbi a commenté sur l'attaque, affirmant, via Facebook, que «la Turquie planifie, le Qatar finance et le troupeau tunisien exécute».