Equipe de France: Zidane, le sale coup de Deschamps confirmé !
Zinedine Zidane était bel et bien décidé à prendre les rênes de l'équipe de France lorsque Didier Deschamps a finalement choisi de prolonger l'aventure à la tête des Bleus à l'issue de la Coupe du monde.
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Zinedine Zidane ne s’en cachait plus. L’été dernier, à l’occasion d’une longue interview à L’Equipe, l’ancien meneur de jeu avait été très clair sur ses intentions: il rêvait de succéder à Didier Deschamps et d’enfiler le costume de sélectionneur tricolore. « J’en ai envie, bien sûr. Je le serai (sélectionneur), je l’espère, un jour. Quand? Ça ne dépend pas de moi. Mais j’ai envie de boucler la boucle avec l’équipe de France. J’ai connu cette équipe de France en tant que joueur. Et c’est la plus belle des choses qui me soit arrivée », avait-il confié, ajoutant: « Quand je dis que j’ai envie de prendre un jour l’équipe de France, je l’assume. Aujourd’hui, une équipe est en place. Avec ses objectifs. Mais si l’opportunité se présente ensuite, alors je serai là. », selon sports.
Et à en croire Robert Pirès, Zinedine Zidane espérait bien que l’opportunité se présente cet hiver, à l’issue de la Coupe du monde au Qatar. Mais c’était sans compter sur la décision de Didier Deschamps de poursuivre à la tête de l’équipe de France. « Lui ce qu’il voulait, c’était l’équipe de France, a ainsi confié l’ancien Gunner, dimanche, au micro du Canal Football Club. Bon, on le sait, ça ne sera pas possible puisque Didier repart sur quatre ans. Maintenant il faut qu’il change un peu de direction, en allant dans un club. Après il n’y a pas beaucoup de clubs qui peuvent ‘s’offrir’ Zizou. »
D’ailleurs, Robert Pirès n’a jamais cru à la piste menant au Brésil, évoquée au début de l’hiver. « Je dis ce que je ressens : le Brésil non. Parce qu’il y a la langue, il veut comprendre ce qu’il se passe quand les choses ne vont pas bien, a-t-il expliqué. Et pour ça, il faut bien parler le portugais. Le Brésil, ce n’était pas d’actualité pour lui. »