La Russie a déclaré ce mardi qu'elle n'allait pas «battre en retraite» face aux menaces de sanctions de Washington en lien avec les tensions en Ukraine, donnant le ton avant un entretien téléphonique important entre la Russie et les États-Unis.
La Russie a envoyé une nouvelle réponse écrite aux États-Unis à leur propre courrier sur la crise ukrainienne, qui menace de faire éclater un nouveau conflit en Europe, a déclaré lundi 31 janvier un responsable américain.
Les présidents russe et français Vladimir Poutine et Emmanuel Macron se sont entretenus lundi par téléphone pour la seconde fois en quatre jours afin d'évoquer la crise en Ukraine, ont indiqué Moscou et Paris.
Les Etats-Unis ont préparé des "dispositifs de sanctions spécifiques contre des membres de l'élite russe et leurs familles" si jamais la Russie attaquait l'Ukraine, a dit lundi la porte-parole de la Maison Blanche Jen Psaki.
Le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, a affirmé dimanche que Moscou souhaitait des relations «respectueuses» avec Washington.
La Grande-Bretagne va proposer à l'Otan un déploiement "majeur" de troupes, de navires de guerre et d'avions de combat en Europe, a annoncé le Premier ministre Boris Johnson, qui veut ainsi répondre à la montée de "l'hostilité russe" envers l'Ukraine.
La Russie a franchi ce samedi pour la première fois le seuil symbolique des 100.000 contaminations quotidiennes par le coronavirus, un record qui illustre la force de la nouvelle vague due au variant Omicron.
Le chef d’État biélorusse Alexandre Loukachenko a assuré ce vendredi que son pays irait en guerre si son alliée, la Russie, était attaquée, promettant d'accueillir des «centaines de milliers» de soldats russes en cas de conflit.
La Biélorussie a annoncé jeudi que les forces russes quitteraient le pays dès la fin des exercices militaires conjoints le mois prochain.
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