Cacao : l’alliance Côte d’Ivoire-Ghana fragilisée par les difficultés d’Accra ? (Gallérie graphie)
Entre mauvaise récolte, problème financier et incertitude politique, le secteur de l’or brun au Ghana est à la peine. De quoi mettre l’association conclue avec le voisin ivoirien sous pression.
Retard de livraison du cacao, difficultés de financement des opérateurs, changement à la tête du régulateur du secteur… Au Ghana, le deuxième producteur d’or brun du continent derrière la Côte d’Ivoire, le secteur est à la peine.
Cette situation constitue un revers pour Accra, le cacao représentant plus de 10 % du produit intérieur brut (PIB) du pays et près de 20 % de ses recettes d’exportations.
Une alliance sous pression
Les défis rencontrés par le Ghana fragilisent l’accord stratégique avec la Côte d’Ivoire, leader mondial du cacao.
Un secteur ghanéen en difficulté
Entre mauvaises récoltes, problèmes financiers et instabilité politique, le Ghana peine à maintenir son rôle dans le marché du cacao.
Retards et bouleversements structurels
Retard de livraison, financement compliqué pour les opérateurs et changements au sommet du régulateur affaiblissent davantage le secteur.
Poids économique majeur pour Accra
Le cacao représente plus de 10 % du PIB ghanéen et près de 20 % de ses recettes d’exportation, rendant ces difficultés encore plus critiques.