Dominique, la veuve de Bernard Tapie sans filtre sur sa jalousie excessive
Dans l’émission Sept à huit, diffusée sur TF1 le dimanche 19 mars, Dominique Tapie a fait des confidences sur son défunt mari, Bernard, qui était très possessif dans leur vie de couple, jusqu’à faire des crises.
Le 22 mars prochain, Dominique Tapie sortira son livre Bernard, la fureur de vivre, dans lequel elle dévoile ses souvenirs avec l’homme d’affaires auquel elle était mariée depuis 1987 et qui est décédé en 2021, emporté par deux cancers.
En promotion, la mère de Sophie et de Laurent a accepté de participer à l’émission Sept à huit, diffusée sur TF1 ce dimanche 19 mars.
Auprès d’Audrey Crespo-Mara, dans le Portrait de la semaine, la veuve de l’ancien patron de l’OM est revenue sur l’importante jalousie de ce dernier, qui était difficile à vivre.
Dominique Tapie a d’abord expliqué qu’il était "très possessif" et que "pour un regard, il pouvait aller trouver la personne et, à la limite, lui mettre son poing dans la figure".
Elle s’est également souvenue de cette crise de jalousie qu’il avait faite "alors qu’il était à l’article de la mort" :
"[C’était] avec son médecin urgentiste qui vient à deux heures du matin.
Le pauvre, il était sous morphine donc il n’avait pas vraiment toute sa tête, mais du tréfonds de son âme, il lui a dit : ‘Qu’est-ce que tu fais là, toi ?
T’en as après ma femme ?’"
Avec amusement, la veuve de Bernard Tapie s’est remémoré cette remarque qui en disait long sur ce trait de caractère de son mari, qui ne s’était pas estompé avec la maladie ni avec les années.
Avec émotion, elle a aussi affirmé que son époux était "très tendre, très affectueux, très protecteur" avec elle.
"Un mari à l’ancienne, c’est-à-dire que j’avais ma place de femme. Je devais m’occuper de mes enfants, de ma maison… Et lui travaillait", a-t-elle déclaré en toute honnêteté, en précisant que Bernard Tapie était un patriarche, qui était "dominant" dans l’intimité comme dans sa vie professionnelle.
"J’ai épousé un mâle au dos argenté… C’était le chef de famille", a-t-elle indiqué avec le sourire.
Une personnalité forte qui le rendait aussi parfois "invivable", comme elle l’a raconté sur TF1 : "Il était tellement sûr de lui et de son bon droit qu’il était difficile de le contredire ou d’aller à l’encontre de ce qu’il avait décidé, mais en même temps, souvent, il avait raison."