Élisabeth Borne accro à la cigarette électronique mais pas que : son autre addiction surprenante
Être Première ministre n’est pas de tout repos et Élisabeth Borne ne le sait que trop bien au milieu de cette cohue générée par la réforme des retraites.
En première ligne dans le débat autour de la réforme des retraites, Élisabeth Borne se sait en danger.
Contraint d’activer le 49.3 à l’Assemblée nationale pour faire passer son texte sans vote, le bras droit d’Emmanuel Macron voit désormais planer au-dessus de lui l’ombre de deux motions de censure qui pourraient amener à renverser son gouvernement ce lundi 20 mars.
Habituée à la pression pour avoir précédemment occupé le poste de ministre du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion, la femme politique avait alors trouvé une astuce pour décompresser : vapoter à l’Assemblée. Un geste interdit qui en avait surpris plus d’un :
“Sympa la ministre du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion Élisabeth Borne qui vapote tranquillement pendant que je lui pose une question dans l’hémicycle…” avait tweeté en 2021 Maxime Minot, représentant de l’Assemblée nationale au Haut Conseil à l’égalité.
Une cigarette électronique qu’Élisabeth Borne a ressortie le 6 juillet dernier, en marge de sa déclaration de politique générale à l’Assemblée nationale.
Mais la cheffe du gouvernement a une autre addiction, comme l’a révélé Contexte, mardi 17 mai 2022 : le Coca-Cola Light. “Il faut de l’énergie pour réussir à la suivre”, a confié l’une des anciennes conseillères d’Élisabeth Borne à nos confrères.
Alors pour suivre son agenda de ministre, sans mauvais jeu de mots, l’ancienne présidente de la RATP sirotrait ce “nectar” coupant la sensation de faim et procurant à ses consommateurs une rapide montée de glycémie, donnant un léger coup de boost.
Mais la politicienne sait aussi lever le pied, du moins le temps d’un week-end, en se plongeant le plus souvent dans les salles obscures avec son fils Nathan.
La pugnacité d’Élisabeth Borne et son rythme de travail ne lui ont pas valu que des louanges.
En 2019, alors que le gouvernement d’Édouard Philippe l’a chargée d’une nouvelle mission qu’est celle de la Transition écologique et solidaire, un surnom peu flatteur lui avait alors été attribué : “Madame Borne-out”, comme l’a confié un ancien collaborateur au Parisien, en avril dernier. Et d’ajouter : “Elle bosse beaucoup et tout le monde doit suivre.”