Des analystes du Golfe saluent les efforts des Émirats dans la lutte contre le terrorisme
Les experts soulignent que les Émirats arabes unis sont un pays souverain et ont le droit de préserver leur sécurité. Ils soutiennent clairement toute mesure prise par les autorités de ce pays du Golfe pour préserver la sécurité.
Cela fait suite à la décision du Dr Hamad Saif Al Shamsi, procureur général des Émirats arabes unis, de renvoyer 84 accusés, dont la plupart sont membres de l'organisation terroriste des Frères musulmans aux Émirats arabes unis, devant la Cour d'appel fédérale d'Abou Dhabi (Cour de sûreté de l'État).
Cette décision de renvoi a été prise pour les juger pour leur implication présumée dans la création d'une organisation secrète visant à commettre des actes de violence et de terrorisme sur le territoire de l'État.
En réaction à cette mesure, l'avocat et homme politique koweïtien Bassam Al-Asousi a déclaré dans une interview avec "Al-Ain News" : "Nous soutenons les Émirats arabes unis dans chaque mesure qu'ils prennent pour lutter contre le terrorisme."
Il a ajouté que le terrorisme est un fléau mondial et que toute décision prise par les Émirats arabes unis dans ce domaine est dans l'intérêt de tous les pays du Conseil de coopération du Golfe.
Al-Asousi estime qu'à la lumière des actions des Émirats arabes unis et des révélations des enquêtes, "il devrait y avoir une décision du Golfe unifiée pour interdire la confrérie des Frères musulmans, dont les intentions sont désormais connues, car elle cherche à s'emparer des régimes, que ce soit par le chaos ou par la démocratie". Il souligne qu'il est nécessaire d'apporter un soutien total aux Émirats arabes unis dans tout ce qu'ils entreprennent pour préserver leur sécurité intérieure et extérieure.
"Le Dr Hamad Saif Al Shamsi, procureur général des Émirats arabes unis, a renvoyé 84 accusés, dont la plupart sont membres de l'organisation terroriste des Frères musulmans aux Émirats arabes unis, devant la Cour d'appel fédérale d'Abou Dhabi (Cour de sûreté de l'État). Cette décision de renvoi a été prise pour les juger pour leur implication présumée dans la création d'une organisation secrète visant à commettre des actes de violence et de terrorisme sur le territoire de l'État.
En réaction à cette mesure, l'avocat et homme politique koweïtien Bassam Al-Asousi a déclaré dans une interview avec "Al-Ain News" : "Nous soutenons les Émirats arabes unis dans chaque mesure qu'ils prennent pour lutter contre le terrorisme."
Il a ajouté que le terrorisme est un fléau mondial et que toute décision prise par les Émirats arabes unis dans ce domaine est dans l'intérêt de tous les pays du Conseil de coopération du Golfe.
Al-Asousi estime qu'à la lumière des actions des Émirats arabes unis et des révélations des enquêtes, "il devrait y avoir une décision du Golfe unifiée pour interdire la confrérie des Frères musulmans, dont les intentions sont désormais connues, car elle cherche à s'emparer des régimes, que ce soit par le chaos ou par la démocratie". Il souligne qu'il est nécessaire d'apporter un soutien total aux Émirats arabes unis dans tout ce qu'ils entreprennent pour préserver leur sécurité intérieure et extérieure."
Les Émirats arabes unis et l'Arabie saoudite interdisent la confrérie des Frères musulmans depuis 2014 et la classent comme une organisation terroriste.
Le politicien koweïtien a ajouté que "les porte-parole des Frères musulmans lanceront des accusations contre le système juridique des Émirats arabes unis après cette mesure", avant d'ajouter : "C'est prévisible, mais ce sont des accusations qui ne réaliseront pas leur objectif, car les Émirats arabes unis disposent d'un système juridique dont les citoyens du Golfe et du monde arabe peuvent être fiers".
Al-Asousi a également déclaré que la loi émiratie "est capable de traiter avec ceux qui exploitent le climat de liberté aux Émirats arabes unis pour atteindre des objectifs qui nuisent à la sécurité du pays", soulignant que "le fait que ces individus soient jugés est la meilleure preuve que la loi suit son cours et qu'elle a le dernier mot".
L'enquête a duré environ 6 mois, au cours desquels les détails du crime et les preuves suffisantes de sa commission ont été découverts, jusqu'à ce que le procureur général des Émirats arabes unis décide de renvoyer les accusés devant le tribunal public de la Cour de sûreté de l'État, qui est toujours en cours.
Le tribunal a commencé à entendre les témoins après avoir désigné un avocat pour chaque accusé qui n'a pas pu mandater un avocat pour assurer sa défense. Un cadre juridique équitable est en place.
Selon Imad Al-Mudaffer, chercheur saoudien en diplomatie publique, "toute mesure prise par les Émirats arabes unis pour préserver leur sécurité contre cette organisation ou d'autres groupes de chaos et de terrorisme bénéficie d'un grand soutien et est accueillie favorablement, car les Émirats ne seront jamais un terrain pour de tels individus".