“The Last of Us”, la série apocalyptique qui rend accro
Très attendue, l’adaptation du jeu vidéo “The Last of Us” nous emmène dans des États-Unis ravagés par une épidémie.
La série, produite par HBO et diffusée en France sur Amazon Prime Video depuis le 16 janvier, remplit toutes ses promesses.
Pour “The Guardian”, elle compte même déjà parmi les meilleures séries de 2023.
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Et si ce n’était pas un virus de type grippe qui menaçait l’existence de l’humanité, mais un champignon parasitaire qui profiterait de la hausse des températures pour évoluer et changer d’hôte, passant des fourmis aux humains ?
C’est l’hypothèse terrifiante sur laquelle se fonde The Last of Us, la nouvelle série postapocalyptique phénomène à avoir débarqué dans un paysage télévisuel qui, pour des raisons que tout le monde connaît, pullule de scénarios de fin du monde.
Si la trame zombiesque de The Last of Us suscite immédiatement la comparaison avec The Walking Dead, le cœur de son propos est plus proche de la série Station Eleven [diffusée l’an passé en France sur la chaîne Syfy], avec laquelle The Last of Us partage un rythme étonnamment régulier et méditatif.
On a beaucoup parlé de ses origines en tant que jeu vidéo, en partie parce que la matière première semblait offrir d’excellentes chances de migrer de la console à l’écran sans décevoir.
L’adaptation a été réalisée par le créateur du jeu, Neil Druckmann, et celui de Chernobyl, Craig Mazin, une association qui portait à penser que cette série pourrait échapper au sort des jeux vidéo portés à l’écran (trente ans après sa sortie, Super Mario Bros.
Reste cité comme l’exemple à ne pas suivre).
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