Mazouzi recadre Belmadi et menace..
Les conférences de presse du coach, Djamel Belmadi, revêtent une grande importance pour les fans de l'équipe algérienne de par les attentes que ces derniers nourrissent quant aux nouvelles des Verts.
Tantôt calmes, tantôt animées, les rendez-vous de Belmadi avec la presse nationale ne passent pas inaperçues.
Revenant sur la dernière conférence de presse de Belmadi au Centre Technique National, le journaliste algérien, Mustapha Mazouzi, a indiqué qu’il boycottera les prochaines rencontres de Belmadi avec la presse nationale.
En effet, Mazouzi a dit, « Je pense que je n’assisterai plus aux conférences de presse de Belmadi. Je constate que beaucoup de gens vont là-bas pour à la rechercher du buzz.
D’autres assistent aux conférences pour régler leurs comptes avec Belmadi. Non, je ne cautionne pas la médiocrité. Je suis fatigué de tout ça », dit-il en critiquant ardemment certaines personnes.
Mazouzi ajoute, « Notre mission est de ramener des informations sur l’équipe d’Algérie, ou du moins tenter de le faire. Je vois que beaucoup de gens ne s’intéressent pas au sujet principal et ne sont présents que pour tacler le sélectionneur. », explique-t-il.
« Ils lui ont posé des questions bidons, il y a un complot », Mazouzi
Sur les raisons de sa décision de boycotter les conférences de presse de Belmadi, le journaliste Mustapha Mazouzi indique, « Le sélectionneur a été très correct cette fois avec les journalistes. Des gens lui ont posé des questions bidons et il a répondu à ces questions.
Il a répondu à toutes les questions. Je ne critique pas mes confrères, je critique un système. », a déclaré Mustapha Mazouzi.
Par ailleurs, revenant sur ce qui se passe durant les conférences de presse du sélectionneur, Mustapha Mazouzi a ajouté, « Certains s’entêtent à lui poser les mêmes questions, rapporte Algérie 360.
À chaque fois, pourquoi vous n’avez pas sélectionné Brahimi ? Pourquoi vous n’avez pas sélectionné Belaïli ?
C’est de l’hypocrisie, ils le font d’une manière incorrecte. Je pense qu’il y a un complot. On laisse de côté l’événement, et on parle pour régler ses comptes.
Il aurait été préférable de poser des questions susceptibles d’apporter des réponses qui ont de la valeur », dit Mazouzi.