Un an après la chute de Kaboul, "il est devenu extrêmement difficile de faire sortir des Afghans", selon un diplomate
Depuis, David Martinon poursuit sa mission diplomatique depuis Paris auprès des dirigeants de la République afghane. Mais il n'a pas de contacts avec les talibans qui ne respectent toujours pas les conditions fixées par la communauté internationale.
Un an après la chute de Kaboul, "il est devenu extrêmement difficile de faire sortir des Afghans" ayant travaillé avec la France, a expliqué sur Franceinfo David Martinon, ambassadeur de France en Afghanistan lundi 15 août et auteur de Ces quinze jours qui ont fait basculer Kaboul publié aux éditions de l’Observatoire. Il y a un an jour pour jour, les talibans prenaient Kaboul, a cité Francetvinfo..
La rupture avec le terrorisme est une des conditions mais ce n'est pas la seule, il y a le respect des droits de l'homme, en particulier celui des femmes qui sont oppressées. Malheureusement pour le moment la diplomatie est inopérante avec ces autorités, selon David Martinon.