Video. Paris 2024 : Les anneaux olympiques bientôt hissés sur la Tour Eiffel
Alors que le seuil des 50 jours avant la Cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris 2024 approche à grands pas, les organisateurs de l’événement et Arcelor Mittal préparent l’installation prochaine des anneaux olympiques sur la Tour Eiffel. Un cad
Au soir du vendredi 26 juillet 2024, les regards des spectateurs présents le long de la Seine et des milliards de téléspectateurs à travers le monde seront tournés en direction de la Tour Eiffel.
Il faut dire qu’à l’issue d’une spectaculaire Cérémonie d’ouverture agencée sur le fleuve parisien au travers d’un parcours long de 6 kilomètres, et alors que la vasque olympique s’embrasera dans les Jardins des Tuileries, la « Dame de Fer » arborera fièrement les anneaux olympiques face aux athlètes et aux officiels présents dans les Jardins du Trocadéro à quelques encablures de l’emblématique monument parisien.
Durant toute la durée des Jeux et même jusqu’au début du mois d’octobre, la Tour Eiffel sera en effet pavoisée des cinq anneaux dont la structure en acier a été façonnée dans diverses usines ArcelorMittal, Partenaire Officiel des Jeux de Paris 2024, déjà mobilisé pour la réalisation des torches, des chaudrons du Relais de la flamme et de la vasque, tous conçus selon les plans du designer Mathieu Lehanneur.
Si l’installation des anneaux au niveau de la Tour Eiffel apparaissait comme une évidence depuis l’obtention des Jeux, la conception, puis l’assemblage des onze segments constituant la structure et évidemment le positionnement exact de celle-ci, devaient encore être pensés par les différentes équipes en charge de ce challenge logistique.
Les ouvriers des sites Industeel France – filiale du géant mondial de la sidérurgie – à Châteauneuf (Loire) et au Creusot (Saône-et-Loire) ont ainsi été sollicités pour forger l’acier issu de ferraille recyclée, avant que leurs collègues d’ArcelorMittal à Dunkerque (Nord) ne soient à l’œuvre pour le laminage des éléments, étape préalable au découpage réalisé à Denain (Nord), puis à la soudure et à la peinture opérées quant à elles dans le Grand Est où l’industriel possède plusieurs usines, selon Sport Et Sociéte.