En dépit de la reprise de l’activité automobile en Algérie, avec l'arrivé de plusieurs marques et le relancement de l’importation des véhicules de moins de 3 ans, le marché de l’occasion continue d’afficher des prix élevés qui défient toute logique.
Le secteur automobile en Algérie est en pleine ébullition depuis le décret sur le retour des importations. La nouvelle du retour de Fiat, Renault, Geely et d’autres marques a créé un élan d’enthousiasme parmi le peuple.
La direction générale des douanes algériennes a publié un document détaillant les opérations douanières pour les voitures d’occasion de moins de trois ans, outre les frais finaux liés à l’importation de ces véhicules.
Le ministre algérien de l’Industrie et de l’Industrie pharmaceutique, Ali Aoun a affirmé que "le dossier de l’automobile est désormais clos et les procédures y afférentes suivent actuellement leur cours normal".
Cette Jaguar est mise en vente pour 500 000 euros.
Les ventes du secteur automobile ont atteint près de 33,92 milliards de dirhams (MMDH) à fin mars 2023, en hausse de 44,8% par rapport à la même période une année auparavant, selon l'Office des Changes.
Le marché des voitures d’occasion continue de flamber en dépit du fait que le secteur automobile a été fourni par de nouveaux modèles importés ou bientôt construits en Algérie.
La société « Geely Algérie » se prépare à importer des véhicules économiques et adaptés pour le marché local de la marque mère chinoise et à les proposer à des prix abordables pour les citoyens.
Un autre modèle de la marque italienne va rejoindre la voiture Fiat 500 dans le processus de la construction automobile en Algérie.
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