Le suspens n’en était pas vraiment un : Liz Truss a été désignée lundi 5 septembre comme étant la nouvelle cheffe du parti conservateur, avec plus de 57% des voix face à son rival, Rishi Sunak.
Sans surprise, l’actuelle cheffe de la diplomatie britannique va devenir la prochaine locataire de Downing Street et succéder à Boris Johnson.
Le Royaume-Uni, qui a fait du rééquilibrage régional l'un de ses chevaux de bataille, «n'apporte que 60% de l'argent fourni par les fonds de l'UE», notent les auteurs d'un rapport.
La ministre britannique des Affaires étrangères Liz Truss a été désignée pour reprendre les dossiers post-Brexit après la démission samedi soir du secrétaire d'Etat David Frost, a annoncé dimanche, Downing Street.
Le Premier ministre britannique est en pleine tempête alors que dans son propre camp de nombreuses voix s’élèvent contre sa politique sanitaire
Lors du référendum du 23 juin 2016, les Britanniques ont voté à 51,9 % en faveur d’une sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne.
Le chef du gouvernement britannique a proposé au président français un «accord bilatéral de réadmission pour permettre le retour de tous les migrants illégaux qui traversent la Manche».
Les principaux Etats membres de l'union Européen ont demandé à la Commission européenne de réfléchir à un plan pour riposter en cas de déclenchement de l'article 16 par le gouvernement britannique.
L’Union Européen propose de réduire les contrôles d'environ 80% et les formalités douanières de 50%, créant une sorte de «voie rapide» pour certains produits à destination de l'Irlande du Nord afin de réduire les tensions avec la province britannique sur
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