Début août, les autorités sanitaires françaises ont signalé une résurgence du virus du Nil occidental (VNO), une infection après une décennie d'absence.
Depuis le début de l'année, l'Afrique a enregistré plus de 18 700 cas suspects ou confirmés de mpox, dont 1 200 au cours de la dernière semaine, selon l'agence de santé de l'Union africaine (Africa CDC).
L'émergence récente des cas de mpox (variole du singe) a suscité une vague de désinformation qui se propage à grande vitesse sur les réseaux sociaux, exacerbant les craintes et semant la panique parmi le public.
La variole du singe, connue sous le nom de Mpox (anciennement orthographiée "monkeypox"), est une maladie virale qui a récemment attiré l'attention mondiale en raison de la résurgence de cas en dehors des zones endémiques.
Une première en dehors d'Afrique : la Suède a confirmé ce jeudi 15 août un cas de Mpox, une infection virale grave qui se propage par contact étroit.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a annoncé ce mercredi 14 août son plus haut niveau d’alerte face à la résurgence préoccupante de la variole du singe, désormais connue sous le nom de mpox, en Afrique.
Cette maladie, anciennement connue sous le nom de variole du singe, a été recensée dans 16 pays africains depuis janvier 2022, avec une augmentation des décès de 160% des cas en 2024.
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En Côte d’Ivoire, la situation sanitaire liée à la variole du singe se dégrade. Huit cas ont été confirmés par les autorités sanitaires, avec un premier décès enregistré.
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