Le président américain Donald Trump a suggéré un plan visant à "nettoyer" la bande de Gaza, proposant de déplacer temporairement ou à long terme les habitants vers l'Égypte et la Jordanie afin d'instaurer la paix.
Dans l’aube grise d’un hiver européen, un silence pesant régnait sur Bruxelles. Ce n’était pas le calme de la sérénité, mais celui d’une tension sourde, de ces moments où la peur fait trembler l’échine des diplomates.
Dans un contexte de tensions croissantes entre la France et l’Algérie, notamment suite au renvoi de l’influenceur Doualemn, Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur français, a récemment pris la parole pour appeler à « tourner la page ».
Le 23 janvier 2025, au cinquième jour de la trêve à Gaza, deux soldats de la Force intérimaire des Nations unies au Liban (Finul) ont été légèrement blessés par une explosion provoquée par les forces israéliennes dans le sud du Liban.
« Il faut un accord ! » a répété Donald Trump, lundi soir, en parlant d'un possible compromis entre la Russie et l'Ukraine pour mettre fin à la guerre, un objectif central de sa politique.
L'Union européenne a révélé mardi qu'elle allait accorder une aide de 60 millions d'euros aux forces armées libanaises, alors que le pays, plongé dans une grave crise, tente de mettre en œuvre une trêve précaire entre Israël et le Hezbollah.
Le Hamas a repris le contrôle de la bande de Gaza après un cessez-le-feu de 15 mois, déployant ses forces dans les rues et réaffirmant son autorité sur le territoire.
Le ministre français des armées, Sébastien Lecornu, a récemment plaidé pour une "refondation" des relations entre la France et l’Algérie.
Face à la domination chinoise dans la construction navale, les États-Unis tentent de réagir pour protéger leur souveraineté industrielle et leur sécurité nationale. Un défi stratégique de taille.
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