Lors d'une conférence de presse tenue mardi soir à la Maison-Blanche aux côtés du Premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou, le président américain Donald Trump a annoncé son intention d'annexer la bande de Gaza.
Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, n'exclut pas la possibilité de normaliser les relations avec Israël, mais sous une condition préalable.
Une réunion ministérielle arabe réunissant six pays a eu lieu samedi au Caire. Les participants ont rejeté fermement l'idée du déplacement des Palestiniens de Gaza.
Le président américain Donald Trump a réaffirmé son soutien à l’idée de déplacer les Palestiniens de Gaza vers l’Égypte et la Jordanie, ravivant une controverse qui suscite de vives réactions à l’échelle internationale.
Les Nations Unies ont fermement rejeté le projet de déplacement forcé des habitants de Gaza, le qualifiant de forme de nettoyage ethnique.
Après avoir attendu 15 mois, passés entre le sang, la destruction, les meurtres et les larmes, des milliers de déplacés du sud se sont dirigés vers le nord de la bande de Gaza, à pied, portant avec eux leurs espoirs et leurs déceptions.
Le 23 janvier 2025, au cinquième jour de la trêve à Gaza, deux soldats de la Force intérimaire des Nations unies au Liban (Finul) ont été légèrement blessés par une explosion provoquée par les forces israéliennes dans le sud du Liban.
Le Hamas a repris le contrôle de la bande de Gaza après un cessez-le-feu de 15 mois, déployant ses forces dans les rues et réaffirmant son autorité sur le territoire.
Le retrait de l'armée israélienne des zones densément peuplées de Gaza a permis à des milliers de Palestiniens de revenir chez eux dimanche, mais nombre d'entre eux ont trouvé leur ville réduite à des ruines.
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