Le président tunisien Kais Saied a accusé des parties anonymes d'essayer de faire venir des mercenaires de l'extérieur du pays, notant que ces parties visent à perturber la voie des réformes.
Un parti tunisien a appelé lundi à la dissolution définitive du Parlement, le considérant comme l'épicentre du danger pour l'Etat et le peuple, et le dernier bastion de la « bande des frères musulmans» dans le pays.
Le Parti Courant Populaire a exigé la dissolution définitive du Parlement, car il est « l'épicentre du grand danger pour l'État et le peuple et le dernier bastion des gangs effondrés ».
Le ministère tunisien de l’Intérieur a annoncé qu’à compter du, samedi 28 août 2021, et dans le cadre du mouvement au sein de la Direction Générale de la Garde Nationale, il a été décidé de procéder aux nominations suivantes :
Une délégation ministérielle libyenne est arrivée jeudi après-midi en Tunisie, pour examiner l'ouverture des postes terrestres et la question d'infiltration des terroristes depuis les frontières des deux pays.
Il y a un mois, le président tunisien Kaïs Saïed a lancé une chasse anti-corruption, avec l’aval d'une grande partie de la population.
Dans une déclaration, mercredi, le dirigeant nahdhaoui Imed Hammami s’est dit solidaire avec le président tunisien Kais Saied qui tente selon lui de mettre fin à la paralysie que les structures de l’Etat connaissent depuis quelque temps.
Le président tunisien Kais Saied a décidé de prolonger «jusqu'à nouvel ordre» le gel du Parlement, dont les activités sont suspendues depuis le coup de force du 25 juillet, a annoncé la présidence dans la nuit de lundi à mardi.
Le Président du Mouvement Ennahdha, Rached Ghanouchi a décidé lundi de dissoudre le bureau exécutif du parti.
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