Lors d'une réunion du Conseil de sécurité des Nations unies mardi soir, le Mali a une nouvelle fois accusé la France de violer son espace aérien et de livrer des armes à des terroristes. Des accusations catégoriquement rejetées par Paris.
Le Conseil de sécurité des Nations unies se réunit, ce mardi à New York, pour débattre du rapport trimestriel du secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, sur la situation au Mali couvrant la période de juin à septembre 2022.
Trois Casques bleus de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation au Mali (Minusma) ont trouvé la mort et trois autres ont été blessés, lundi matin, dans deux attaques distinctes à l'engin explosif improvisé à Kidal.
Deux Casques bleus de la mission de l'ONU au Mali (Minusma) ont été tués et quatre autres grièvement blessés lundi par l'explosion d'un engin explosif improvisé dans le nord du pays, a indiqué la Minusma sur Twitter.
Après le Mali, le Burkina Faso est le deuxième coup de semonce pour Paris. Qu’à Ouagadougou un putschiste succède à un autre ne devrait pas être un problème pour les autorités françaises, qui ont toujours su s’accommoder des régimes militaires africains.
Les 46 soldats emprisonnés au Mali depuis trois mois, sont bien de nationalité ivoirienne. Précision donnée ce mercredi, par les autorités ivoiriennes, à l'issue d'un Conseil des ministres.
Les autorités considèrent qu’il représente l’une des réformes impératives pour mener à bien leur projet de « refondation » de l’Etat.
Pour quelles raisons la libération des soldats ivoiriens détenus à Bamako tarde-t-elle ? Trois mois après leur arrestation lors de leur arrivée au Mali, dans un cadre onusien mais entaché d'irrégularités
Des médiateurs africains dépêchés à Bamako pour négocier la libération des militaires ivoiriens considérés comme des mercenaires par le Mali.
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