
La Côte d’Ivoire condamne une « prise d’otage » de ses soldats par le Mali
La junte au pouvoir à Bamako veut conditionner la libération de 46 militaires arrêtés en juillet à l’extradition de personnalités politiques maliennes vivant à Abidjan.
La junte au pouvoir à Bamako veut conditionner la libération de 46 militaires arrêtés en juillet à l’extradition de personnalités politiques maliennes vivant à Abidjan.
La Côte d'Ivoire considère que ses 46 soldats détenus au Mali depuis deux mois sont des "otages", après des déclarations des autorités maliennes au pouvoir à Bamako .
Talataye, à environ 150 km de Gao, est régulièrement le théâtre de combats depuis le début du conflit malien en 2012, étant donné sa situation à la confluence des zones d'influence de différents groupes armés.
Berlin a repris mardi ses opérations de reconnaissance hors de Gao, dans le cadre de la Mission de l'ONU au Mali (Minusma), a annoncé mercredi à l'AFP une porte-parole de l'armée allemande.
La 3e réunion du Groupe de suivi et de soutien à la transition au Mali (GST-Mali) a démarré mardi à Lomé. Les travaux ont été ouverts par le ministre togolais des affaires étrangères, Prof Robert Dussey.
Les responsables des juntes au pouvoir au Mali et au Burkina, deux pays sahéliens en proie à des attaques de groupes islamistes, ont décidé de «renforcer leur partenariat militaire», a indiqué dimanche la présidence burkinabée.
Trois femmes soldates sur un groupe de 49 militaires ivoiriens détenus au Mali, qui les accuse d'être des mercenaires, ont été libérées, selon des responsables togolais et ivoiriens.
L’Algérie, partenaire privilégié du Mali veut aider à rapprocher les positions entre Bamako et Paris.
Le Mali a rejeté en bloc vendredi 2 septembre les accusations «tendancieuses» selon elle de massacre et de violations des droits humains portées par la mission de l'ONU dans le pays contre les forces armées.
Aucun résultat correspondant à votre recherche
Aucun résultat correspondant à votre recherche