Dans un appel téléphonique tendu, le président américain Joe Biden a pressé le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu de ne pas lancer une opération militaire à Rafah sans garanties pour la sécurité des civils.
Les tensions entre Israël et le Hamas s’intensifient après des explosions près de Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, aujourd’hui, marquant plus de 120 jours de conflit.
Au milieu des échanges de tirs dévastateurs et des tensions inouïes entre l’armée israélienne et le Hamas qui secouent Gaza, un rayon d’espoir émerge de l’obscurité.
Le qualificatif, qui «fait souvent référence à l'idéologie d'une personne», peut «également être utilisé pour désigner les Juifs ou les Israéliens», selon un porte-parole de Meta.
Les États-Unis ont exprimé leur préoccupation face à l'escalade des tensions à Rafah, dans le sud de Gaza, mettant en garde contre un "désastre" humanitaire.
L'armée israélienne a lancé des frappes accrues sur la ville de Rafah dans la bande de Gaza jeudi, suscitant des préoccupations croissantes pour la sécurité des Palestiniens pris au piège dans cette région densément peuplée.
Pour échapper à l’enfer de la guerre dans la bande de Gaza, le poste-frontière de Rafah vers l’Égypte est le seul point de sortie. Plutôt un goulot d’étranglement, Le Caire craignant un exode de Palestiniens.
Benjamin Netanyahu a rejeté les espoirs de trêve à Gaza et a appelé à une offensive sur Rafah, malgré les craintes entourant cette décision alors que la ville abrite désormais la majorité de la population palestinienne.
Le secrétaire d'État américain, Antony Blinken, s'est rendu en Israël pour discuter d'une éventuelle trêve à Gaza avec les dirigeants israéliens.
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