Brigitte et Emmanuel Macron : leur différence d’âge moquée à Cannes, un grand cinéaste se lâche !
À Cannes pour défendre son film May December, porté par Julianne Moore et Natalie Portman, le réalisateur Todd Haynes a fait une remarque inattendue sur la différence d'âge entre Emmanuel Macron et Brigitte Macron .
Leur différence d'âge ne cesse d'être commentée.
Quand ce ne sont pas les chefs d'État qui en parlent, c'est le cinéma qui le fait.
Venu présenter son film May December au Festival de Cannes, ce dimanche 21 mai, le réalisateur Todd Haynes a eu une pensée pour Emmanuel Macron et Brigitte Macron, rapporte RTL.
Alors que son long-métrage raconte la liaison entre un collégien de 13 ans et une femme mariée, il explique lors d'une conférence au Palais des Festivals :
"Ce titre c'est un terme en anglais qui n'a pas d'équivalent dans une autre langue".
"Ça fait juste référence à une relation amoureuse entre une personne plus jeune et une personne plus âgée, puisque mai et décembre", poursuit le réalisateur.
Avant d'ajouter : "Certaines personnes, en France, appellent ça Le Macron".
Depuis que le président français et son épouse se sont installés à l'Élysée, leurs 24 années d'écart ont plus d'une fois été citées et même moquées.
Si le couple présidentiel ne prête plus attention aux remarques sur leur différence d'âge, la Première dame confiait sur RTL en juin 2019 :
"Il y a un mot que je déteste, c'est le mot cougar. Qu'est-ce que c'est que ce mot ? Ça ne correspond à rien. J'ai toujours été attirée par les hommes de mon âge".
Dans l'édition du jeudi 12 janvier du S, le magazine de Sophie Davant, Brigitte Macron concédait :
"C’est plus simple d’être dans la même tranche d’âge, quel que soit le sens. Mais Emmanuel est arrivé dans ma vie. Et elle a pris un tournant que je n’aurai jamais imaginé".
"Je n’ai jamais fait la promotion de notre couple : il existe, mais ne s’explique pas", poursuivait-elle.
Si certaines critiques peuvent la heurter, elle a choisi de ne prêter attention qu'aux avis de ses enfants Sébastien, Laurence et Tiphaine : "C’est leur seule opinion qui a compté".
"Tout ce que j’entendais des autres personnes m’indifférait. Au début, j’essayais de gérer les ragots, les critiques. Et à un moment donné, vous ne pouvez plus gérer. (...) Le seul élément qui importait, c'était que mes enfants aillent bien", ajoutait l'ancienne professeure.