Disparition d’Émile : Une conclusion déchirante à une enquête complexe
Neuf mois après la disparition d’Émile Soleil, des découvertes sinistres ont été faites près du hameau du Vernet, changeant le cours de l’enquête initialement ouverte pour disparition inquiétante.
Le 8 juillet 2023, Émile, âgé de deux ans et demi, disparaît mystérieusement, déclenchant une enquête initiale pour disparition inquiétante. Rapidement, cette enquête se transforme en une affaire criminelle, évoquant des soupçons d’enlèvement et de séquestration. Malgré de nombreuses recherches et fouilles minutieuses, aucune piste n’a alors abouti.
Le parquet de Digne annonce, le 12 juillet, le basculement de l’enquête vers une enquête préliminaire, suivie par l’ouverture d’une information judiciaire le 18, confiée à deux juges d’instruction d’Aix-en-Provence. Les enquêteurs se lancent alors dans une analyse méticuleuse des données recueillies, incluant des appels téléphoniques et des informations sur la téléphonie de la zone.
Enquête élargie à des motifs criminels
Le 21 août, l’enquête prend une nouvelle dimension en s’élargissant aux motifs criminels d’enlèvement et de séquestration, offrant ainsi une plus grande souplesse aux enquêteurs dans leurs démarches.
Les parents d’Émile expriment leur désarroi et leur espoir dans plusieurs prises de parole dans la presse, implorant toute personne détenant des informations de se manifester.
Le 28 mars, une reconstitution de la journée de la disparition réunit la famille d’Émile, des voisins et des témoins sur les lieux de la disparition, dans l’espoir de clarifier les événements.
Découverte d’«ossements»
Le dimanche 31 mars, des ossements correspondant à ceux du jeune garçon sont retrouvés près du Vernet. Les analyses génétiques confirment qu’il s’agit bien d’Émile Soleil, mais les circonstances de sa mort demeurent inconnues.
Cette conclusion tragique laisse la région dans une profonde tristesse, tandis que les autorités continuent d’enquêter pour élucider les circonstances de cette disparition déchirante.
