Trump réfute les accusations nazies : Tensions avant l'élection (VIDÉO)
La semaine précédant l'élection présidentielle américaine, Donald Trump réfute toute association avec le nazisme après des accusations de tendances autoritaires.
Critiqué pour d'anciennes déclarations, notamment par son ancien chef de cabinet John Kelly, l'accusant de se comporter comme un fasciste, Trump se défend lors de ses meetings, affirmant être l'opposé d'un nazi.
Une autre controverse éclate suite à des propos racistes tenus par un humoriste lors d'un de ses rassemblements à New York, que la porte-parole de Trump tente de minimiser.
Dans un climat tendu, Kamala Harris et son colistier Tim Walz parcourent les États-clés, débutant au Michigan. Harris met en garde contre la nature instable de Trump, soulignant sa volonté de pouvoir absolu.
Les tensions s'accroissent, alimentées par la crainte d'un refus de reconnaissance de défaite de la part de Trump en cas de victoire adverse, ainsi que par ses promesses de politique d'expulsion des migrants et de répression des "ennemis de l'intérieur" en cas de réélection.
Les sondages nationaux montrent une course serrée entre Kamala Harris, potentiellement la première femme noire à devenir présidente des États-Unis, et Donald Trump, candidat pour la troisième fois à la présidence.