« Nous avons besoin d’un cessez le feu immédiat à Gaza », (IASC)
Les principaux membres du Comité permanent interagences des Nations Unies (IASC), ont publié ce 06 novembre, une Déclaration dans laquelle ils réclament un cessez- le feu immédiat dans la bande de Gaza.
Les principaux membres du Comité permanent interagences des Nations Unies (IASC), ont publié ce 06 novembre, une Déclaration dans laquelle ils réclament un cessez- le feu immédiat dans la bande de Gaza.
Un mois après le début de la guerre entre Israël et les territoires palestiniens occupés, et les bombardements intenses sur la Bande de Gaza, les responsables des bureaux et agences onusienns de Rome, New York et Genève ont signé une déclaration appelant à un cessez le feu humanitaire immédiat.
Il s’agit entre autres des responsable du Bureau de la coordination des affaires humanitaires des Nations Unies (OCHA), de l’Organisation internationale pour les migrations (IOM), du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), du Haut Commissaire des Nations Unies pour les réfugiés (UNHCR), du Programme Alimentaire Mondial (PAM), de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), du Fonds des Nations unies pour l’enfance (UNICEF), etc.
Dans cette déclaration, les agences onusiennes affirment que 88 de leurs collègues de l’Office de Secours des Travaux des Nations Unies pour les Réfugiés palestiniens au Proche- Orient l’UNRWA ont été tués depuis le début des bombardements à Gaza.
Ces agences onusiennes affirment que près de 9 500 personnes ont été tuées, dont 3 900 enfants et plus de 2 400 femmes du coté palestiniens, contre 1 400 morts et des milliers ont été blessées et plus de 200 personnes prises en otage du coté israéliens.
Les différents appels à un cessez-le feu humanitaire formulés par différentes parties ont tous étaient sanctionnés par un rejet de la part de certains membres du Conseil de Sécurité de l’Onu.
Dans les rues et les capitales mondiales, des millions de personnes continuent de battre le pavés dans des manifestations de plus en plus gigantesques réclamant ce cessez-le feu qui ne vient pas.