Niamey - Le régime militaire en place au Niger a confirmé la découverte de « victimes civiles » à la suite de frappes aériennes menées par l'armée nigérienne contre des « terroristes ».
La population nigérienne se réjouit du départ de la France, appelant à des relations égalitaires.
Une vague de terreur dévastatrice a frappé le Nigeria, avec plus de 160 personnes tuées lors d'attaques coordonnées menées par des groupes armés entre samedi soir et lundi matin.
Les derniers des 1 500 soldats et aviateurs français basés au Niger ont quitté le pays vendredi matin, au terme d'un long bras de fer entre Paris et les autorités militaires de Niamey.
La CEDEAO a surpris en annonçant dimanche sa disposition à revoir les sanctions économiques imposées à Niamey en août suite au coup d'État contre le président Mohamed Bazoum le 26 juillet.
La Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (Cédéao) a annoncé dimanche l'ouverture de la voie à un allègement des sanctions contre le Niger.
Les deux pays fustigent-ils «l'attitude hostile persistante de la France contre leurs États»
Concomitamment à cette rupture de l’accord de coopération militaire avec l’Europe, Niamey reçoit ce même jour, une délégation militaire russe.
Nous sommes évidemment loin de la préparation des soldats pour une intervention militaire contre le Niger, comme annoncée fin juillet dernier.
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