Le Mali, le Burkina Faso et le Niger, trois régimes alliés dirigés par des militaires, ont appelé le Conseil de sécurité de l'ONU à « prendre les mesures appropriées » contre l'Ukraine qu'ils accusent, dans une lettre ouverte, de .soutenir le terrorisme
La tension grimpe encore d’un cran entre l’Ukraine et le Mali, le Burkina Faso et le Niger.
La période de transition, initialement prévue pour 18 mois, s’est prolongée bien au-delà de son terme officiel, le 26 mars dernier.
L’ancien général malien et député du CNT, Minkoro Kané, a enflammé les tensions diplomatiques en accusant les dirigeants du Bénin et de la Côte d'Ivoire dans une vidéo du 14 août 2024.
Fin juillet, une attaque terroriste dévastatrice a frappé la ville de Tinzaouaten, située dans la région de Kidal, laissant le Mali endeuillé par de lourdes pertes humaines parmi les Forces Armées Maliennes (FAMa) et leurs partenaires russes.
Une crise diplomatique a éclaté entre le Mali et la Suède suite aux déclarations « hostiles » d’un ministre suédois sur le soutien du Mali à la Russie.
Au Burkina Faso, les Forces combattantes ont mené des opérations militaires conduisant à la neutralisation de plusieurs terroristes dans la province du Koulpélogo.
L'armée américaine s'est retirée lundi de sa dernière base au Niger - une installation de drones à Agadez - et l'a remise aux autorités de ce pays sahélien, où des militaires ont pris le pouvoir il y a un an.
Le président de la Transition du Niger, Abdourahamane Tiani, a vivement accusé la France de chercher à déstabiliser son pays et de soutenir des groupes terroristes en Afrique de l’Ouest.
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