Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a ouvert la porte à un cessez-le-feu conditionnel lors d’une interview le 29 novembre, suggérant que l'Ukraine pourrait accepter un arrangement pour mettre fin à la phase active de la guerre.
La tension entre la Russie et l’Ukraine a atteint un nouveau sommet ce lundi 25 novembre, marqué par un échange intense de frappes de drones et de tirs de missiles.
Depuis le mois d’août, l’Ukraine a perdu environ 40 % des territoires qu’elle contrôlait dans la région de Koursk, selon une source militaire ukrainienne de haut rang citée par Reuters.
Les sanctions américaines frappent le cœur financier russe, augmentant la pression sur le Kremlin tout en ravivant les tensions internationales.
Le 17 novembre, les États-Unis ont autorisé l’utilisation des missiles ATACMS par l’Ukraine pour cibler des infrastructures stratégiques russes en profondeur.
Trois soldats ukrainiens, armés de fusils d’assaut AKM d’origine soviétique, avancent prudemment le long de tranchées en zigzag.
Dans la nuit de lundi à mardi, la capitale ukrainienne, Kiev, a été la cible d’une attaque massive combinant missiles et drones, marquant une nouvelle escalade dans les frappes contre les infrastructures stratégiques du pays.
Les responsables ukrainiens « déclarent ouvertement leur soutien aux groupes terroristes » dans le nord du Mali, a fustigé ce 9 novembre le chef de la diplomatie malienne.
Trump a exprimé des réserves sur la poursuite du soutien à l’Ukraine dans sa guerre contre la Russie. Les responsables ukrainiens savent qu’ils devront le convaincre.
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