À l'approche des élections présidentielles américaines, les paris politiques connaissent une forte montée en puissance, influençant de manière significative le marché.
La campagne présidentielle aux États-Unis a pris un tournant jeudi 29 août avec le premier entretien télévisé de Kamala Harris et de son colistier Tim Walz depuis qu’elle s’est portée candidate en remplacement de Joe Biden.
Lors de sa première interview en tant que candidate démocrate, Kamala Harris a adopté une approche prudente, poussant Donald Trump à la qualifier d’« ennuyeuse ».
Après les voix dissonantes de cadres républicains à la convention démocrate, c'est maintenant au tour de plus de 200 collaborateurs de se rallier à Kamala Harris.
Dans un grand moment d’absurdie dont il a le secret, l’ancien président a déclaré que la dictature sud-américaine serait plus sûre que les États-Unis.
Kamala Harris, candidate démocrate à la présidentielle du 5 novembre, a choisi Tim Walz, gouverneur de l’État du Minnesota, comme colistier et potentiel vice-président en cas de victoire.
Donald Trump a mis fin au suspense en annonçant ce lundi 15 juillet avoir choisi le sénateur J.D. Vance pour être son vice-président, au premier jour d'une convention chamboulée par la tentative d’assassinat de l’ex-président républicain.
Fred Trump III, neveu de l'ex-président Donald Trump, a fait des vagues en annonçant son soutien pour la candidate démocrate Kamala Harris lors de l'élection présidentielle de novembre 2024.
L'ancien hôte de la Maison Blanche a promis, s'il gagne l'élection de 2024, «de conserver 100% des bitcoins détenus par le gouvernement américain» pour en faire «un noyau dur de réserves stratégiques nationales».
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