Égypte, un sommet pour la paix s’ouvre aujourd’hui : les détails
Le sommet auquel a appelé le président égyptien Al-Sissi le 15 octobre dernier à l’issue d’un conseil de sécurité national s’ouvre ce samedi 21 octobre.
Le sommet égyptien coïncide avec le début de la troisième semaine d’escalade qui a éclaté entre Israël et le Hamas après que ce dernier a lancé l’opération « Déluge d’Al-Aqsa » le 7 de ce mois.
Il y a peu de temps, le président des Émirats arabes unis, Cheikh Mohammed ben Zayed Al Nahyan, est arrivé sur le lieu du sommet de la paix du Caire.
Le président palestinien Mahmoud Abbas est également arrivé au siège de la conférence.
Outre le cheikh Mohammed ben Zayed Al Nahyan, un certain nombre de commandants et de dirigeants devraient participer à la conférence, notamment le président du pays hôte, Abdel Fattah Al-Sissi, ainsi que le président palestinien, Mahmoud Abbas, et le Roi de Jordanie, Abdallah II.
Participent également au sommet le roi de Bahreïn, Hamad bin Isa Al Khalifa, l'émir du Qatar, Cheikh Tamim bin Hamad Al Thani, et le prince héritier du Koweït, Cheikh Meshaal Al-Ahmad Al-Sabah, en plus du Premier ministre irakien. Ministre Muhammad Shiaa Al-Sudani.
Le président sud-africain Cyril Ramaphosa devrait également y participer, aux côtés d'un certain nombre de dirigeants occidentaux, dont le président chypriote Nikos Christodoulides, le Premier ministre italien Giorgia Meloni, le Premier ministre espagnol Pedro Sanchez et le Premier ministre grec Kyriakos Mitsotakis.
Et aussi les ministres des Affaires étrangères de la France et de l’Allemagne, outre le vice-ministre russe des Affaires étrangères Mikhaïl Bogdanov, l’envoyé chinois pour les questions de paix au Moyen-Orient, Zhai Jun, et le secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres.
La nouvelle capitale administrative se prépare à accueillir le Sommet de la paix du Caire en 2023, afin de mettre un terme aux opérations militaires israéliennes dans la bande de Gaza, dans le cadre d'une initiative exigeant la nécessité de se lancer d'urgence dans l'examen des moyens d'un règlement global du conflit israélo-palestinien. conflit, dans le cadre de la solution à deux États, avec un large soutien international.
Le Conseil de sécurité nationale égyptien a précédemment appelé à organiser un sommet régional et international sur la question palestinienne, pour discuter de la recherche d'une solution à la crise et au conflit actuels entre les parties palestinienne et israélienne.
L'Égypte rejette catégoriquement toute tentative visant à liquider la question palestinienne et s'oppose également aux tentatives visant à déplacer les Palestiniens de leurs terres.
Le gouvernement égyptien travaille en coordination avec les parties actives sur la scène régionale et internationale afin de coordonner les efforts internationaux et de discuter de tous les moyens possibles pour mettre fin à l'escalade en cours entre Gaza et Israël.