
Une nouvelle crise diplomatique suite aux accusations de génocide à Gaza
Le président colombien, Gustavo Petro, a récemment déclenché une vague de controverses en accusant Israël de perpétrer un “génocide” dans la bande de Gaza.
Le président colombien, Gustavo Petro, a récemment déclenché une vague de controverses en accusant Israël de perpétrer un “génocide” dans la bande de Gaza.
Le Conseil de sécurité de l’ONU s’est une nouvelle fois confronté à un veto américain concernant une résolution appelant à un cessez-le-feu immédiat à Gaza.
La récente comparaison du président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva entre la guerre à Gaza et la Shoah a enflammé une crise diplomatique entre le Brésil et Israël.
La Cour internationale de justice (CIJ) à La Haye est le théâtre d’un débat crucial sur la légalité de l’occupation israélienne des territoires palestiniens depuis 1967.
Cette demande, que la Hongrie n'a pas reprise à son compte, signifie un "arrêt des combats" afin de permettre ensuite un cessez-le-feu durable, a expliqué le chef de la diplomatie européenne
Le Ramadan approche, mais la tension monte entre Israël et le Hamas, d'autant plus que la situation est explosive, principalement à Jérusalem.
L'Hôpital Nasser, le deuxième plus grand établissement médical de la bande de Gaza, est actuellement "complètement hors service" selon les autorités sanitaires locales.
Les manifestants ont exprimé leur solidarité avec les palestiniens à Gaza en chantant des slogans accusant le magasin français de complicité dans le soutien à la guerre.
La gouverneure de New York, Kathy Hochul, a présenté ses excuses suite à des commentaires controversés dans lesquels elle suggérait qu'Israël avait le droit de détruire Gaza en représailles à l'attaque du Hamas le 7 octobre.
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