L'attaque d'un hôpital de Gaza qui a fait au moins 500 morts, a suscité de vives condamnations à l'étranger et provoqué des manifestations dans les rues d'Amman, Tunis, Beyrouth et Téhéran.
Le président américain Joe Biden est arrivé en Israël ce mercredi dans le cadre d'une initiative diplomatique visant à empêcher l'escalade de la guerre avec le mouvement du Hamas vers un conflit plus important.
Nouvelle friction diplomatique émanant du conflit israélo-palestinien : le lundi 17 octobre, le Hamas a affirmé avoir reçu le soutien des autorités sud-africaines. Cependant, cette déclaration a été réfutée par le ministère des Affaires étrangères.
Avec l'intensification de la guerre entre Israël et le Hamas à Gaza, l'hôpital Al-Mu'adhami dans la région a été frappé mardi, faisant 500 morts. Cet acte choquant a été suivi de condamnations internationales et arabes.
De Washington à Téhéran en passant par la France, de nombreuses voix ont condamné la frappe meurtrière d'un hôpital de la ville de Gaza.
Plus de 30 civils ont été tués tôt ce matin dans des bombardements d'artillerie, aériens et maritimes qui ont touché toutes les régions de la bande de Gaza, a rapporté l'Agence de presse palestinienne "Wafa", citant des sources médicales et locales.
Le président américain ,Joe Biden, doit arriver ce mercredi en Israël, où il rencontrera Benjamin Netanyahu, au lendemain d'une frappe sur un hôpital de la ville de Gaza qui a fait des centaines de mort et dont Israël et le Jihad islamique se rejettent la
Dans une première réaction européenne sur le massacre israélien à l'hôpital de Gaza, le responsable de la politique étrangère de l'UE, Josep Borrell, a déclaré, mardi, que les images ajoutent l'horreur à la tragédie en cours.
Les Émirats arabes unis ont condamné, mardi , avec la plus grande fermeté l'attaque israélienne contre l'hôpital Al-Ahli à Gaza, qui a fait des centaines de morts et de blessés.
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